A la fin de l’été, Louise voit le dernier train de la saison, qui dessert la petite station balnéaire de Biligen, partir sans elle. La ville est désertée. Le temps rapidement se dégrade, les grandes marées d’équinoxe surviennent condamnant maintenant électricité et moyens de communication. Fragile et coquette, bien moins armée que Robinson, Louise ne devrait pas survivre à l’hiver. Mais elle n’a pas peur et considère son abandon comme un pari. Elle va apprivoiser les éléments naturels et la solitude. Ses souvenirs profitent de l’occasion pour s’inviter dans l’aventure. Jusqu’à ce qu’une explication lui soit révélée et que tout rentre dans l’ordre.
Passionné par l’animation depuis sa rencontre avec Paul Grimault (“Le Roi et l’oiseau”), Jean-François Laguionie est devenu l’un des grands spécialiste de l’animation française avec notamment des films comme “Le Château des singes”, “L’île de Black Mor” ou encore “Le Tableau”. Avec “Louise en hiver”, il signe aujourd’hui l’un de ses films le plus personnel.
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